Édouard Philippe et Louis XIV : duel de calvitie à travers les siècles

Salut à toi, ami(e) du cuir chevelu ! Aujourd'hui, on va parler d'un sujet qui me tient particulièrement à cœur (et à tête) : l'alopécie. Eh oui, quand on porte un complément capillaire depuis plus d'une décennie, on devient un peu expert en la matière. Alors, accroche-toi à tes mèches, on va faire un petit voyage dans le temps pour comparer deux grands hommes face à leur calvitie : Édouard Philippe et Louis XIV. Spoiler alert : l'un d'eux a fini avec une perruque plus imposante que son ego !

La perte de cheveux : un combat royal à travers les âges

Imagine un peu : tu te réveilles un matin, et paf ! Tes sourcils ont pris la poudre d'escampette. C'est exactement ce qui est arrivé à notre cher Édouard Philippe. Le 2 février 2024, l'ancien Premier ministre a fait son coming out capillaire sur BFMTV. À 52 ans, le voilà confronté à l'alopécie, cette sacrée chipie qui s'attaque à notre système pileux.

Mais bon, Édouard n'est pas le seul à avoir eu des démêlés avec ses cheveux. Remontons le temps jusqu'au 17e siècle, où le jeune Louis XIV, futur Roi Soleil, commençait déjà à perdre ses rayons capillaires. Et croyez-moi, quand on est roi de France, on ne peut pas se contenter d'un bonnet pour cacher la misère !

Voici un petit tableau comparatif de nos deux protagonistes face à leur calvitie :

Critère Édouard Philippe Louis XIV
Âge du début de l'alopécie 52 ans Très jeune (adolescence)
Réaction publique Transparence à la télévision Dissimulation avec des perruques
Impact sur la carrière Se dit "extrêmement ambitieux" A régné pendant 72 ans

Édouard Philippe : quand l'alopécie s'invite en politique

Revenons à notre époque et à notre ami Édouard. Le pauvre, il a vraiment tiré le gros lot : sourcils, barbe, moustache, tout y est passé ! C'est comme si son visage avait décidé de faire une grève générale du poil. Mais notre Édouard national ne se laisse pas abattre. Il a même déclaré que ça ne l'empêchait pas d'être "extrêmement ambitieux" pour la France. Bien dit, mon gars !

Calvitie Louis 14 et Edouard philippe

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Je me souviens de la première fois où j'ai remarqué que mes cheveux partaient en vacances sans moi. J'ai paniqué, j'ai pleuré, j'ai même envisagé de me faire moine (bon, peut-être pas à ce point-là). Mais Édouard, lui, il gère ça comme un chef. Il ôte ses lunettes en direct, montre sa nouvelle tête au monde entier, et continue son chemin comme si de rien n'était. Chapeau bas, mon cher (c'est le cas de le dire) !

Voici quelques leçons qu'on peut tirer de l'attitude d'Édouard face à l'alopécie :

  • L'honnêteté paie toujours
  • L'humour est la meilleure des perruques
  • La confiance en soi ne se mesure pas au nombre de cheveux

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Louis XIV : la calvitie royale et l'art de la perruque

Maintenant, remontons le temps et parlons un peu de notre bon vieux Louis XIV. Le pauvre petit Louis a commencé à perdre ses cheveux alors qu'il n'était encore qu'un ado boutonneux. Imaginez le drame : tu es le roi de France, censé incarner la puissance et la majesté, et tu te retrouves avec une tonsure digne d'un moine de 80 ans !

Mais Louis n'était pas du genre à se laisser abattre. Oh que non ! Il a transformé son problème en une véritable tendance de mode. Les perruques sont devenues son truc, son style, sa marque de fabrique. Et pas n'importe quelles perruques : des cascades de boucles, des tours de cheveux plus hautes que la tour Eiffel (bon, elle n'existait pas encore, mais vous voyez l'idée).

Le Roi Soleil a réussi à transformer sa calvitie en un symbole de pouvoir et de richesse. C'était un peu le Édouard Philippe de son époque, en version plus... flamboyante. Je me demande ce qu'aurait fait Louis XIV s'il avait eu accès à nos techniques modernes de greffe de cheveux. Il aurait probablement lancé la mode de la transplantation capillaire à Versailles !

Voici les étapes de l'évolution capillaire de Louis XIV :

  1. Jeune roi aux cheveux clairsemés
  2. Adoption des premières perruques discrètes
  3. Développement de perruques de plus en plus extravagantes
  4. Création d'une véritable industrie de la perruque en France

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L'alopécie : un mal pour un bien ?

Alors, que retenir de ces deux histoires séparées par plusieurs siècles ? Eh bien, que la perte de cheveux, aussi embêtante soit-elle, n'est pas forcément la fin du monde. Édouard Philippe nous montre qu'on peut l'affronter avec courage et transparence. Louis XIV, lui, nous rappelle qu'on peut en faire une force, un style, une marque de fabrique.

Personnellement, je pense que l'alopécie m'a rendu plus fort. J'ai appris à rire de moi-même, à ne pas me prendre au sérieux. Et puis, honnêtement, tu sais combien de temps je gagne le matin à ne pas avoir à me coiffer ? C'est le pied !

Alors, que tu sois en train de perdre tes cheveux ou que tu aies une crinière digne d'un lion, rappelle-toi : ce n'est pas la quantité de cheveux sur ta tête qui compte, mais ce qu'il y a à l'intérieur. Et si jamais tu te sens déprimé, dis-toi que tu es en bonne compagnie : des rois, des Premiers ministres, et même des mecs cool comme moi !

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