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Salut les amis chauves et pas chauves ! Aujourd'hui, on va parler d'un sujet qui me tient particulièrement à cœur (et aux cheveux) : le finastéride, ce fameux médicament anti-calvitie qui fait tant jaser. Croyez-moi, avec mon complément capillaire, je suis bien placé pour en parler ! Alors, attachez vos perruques, on décolle !
Le finastéride, c'est un peu comme ce pote qui te promet monts et merveilles mais qui finit par te planter à la soirée. Vendu pendant des années sous le nom de Propecia (ça sonne un peu comme une marque de yaourt, non ?), ce médicament était censé être notre sauveur contre la chute de cheveux. Mais voilà, l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a décidé de lui faire passer un petit contrôle technique.
Pourquoi ? Parce que ce petit comprimé magique aurait quelques effets secondaires pas très cool. On parle de :
Autant te dire que ça fait beaucoup pour un simple traitement contre la calvitie. C'est un peu comme si tu voulais juste faire pousser du gazon sur ton crâne et que tu te retrouvais avec un champ de mines !
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Heureusement, les autorités sanitaires européennes ont décidé de se pencher sur le problème. Le comité de pharmacovigilance de l'Agence européenne du médicament (PRAC pour les intimes) a lancé un "nouvel arbitrage". En gros, ils vont réévaluer la balance bénéfices/risques du finastéride. C'est un peu comme quand tu hésites entre manger une pizza ou une salade : tu pèses le pour et le contre, sauf que là, c'est un poil plus sérieux.
Et comme si ça ne suffisait pas, ils vont aussi jeter un œil au dutastéride, le cousin du finastéride. Ces deux-là appartiennent à la même famille de médicaments, un peu comme Batman et Robin, mais en version "sauveurs de cheveux".
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Le finastéride, c'est pas tout jeune. Ça fait une vingtaine d'années qu'il traîne dans nos pharmacies. À l'époque, on nous le vendait comme la solution miracle pour les hommes de 18 à 41 ans atteints d'alopécie androgénique précoce. En gros, si tu commençais à ressembler à ton oncle chauve à 25 ans, c'était pour toi !
Mais attention, ce n'est pas que pour les cheveux ! Le finastéride à plus forte dose (5mg) et son pote le dutastéride (0,5 mg) sont aussi utilisés pour traiter l'hypertrophie bénigne de la prostate. C'est pratique, ça fait d'une pierre deux coups : tu gardes tes cheveux et ta prostate en bonne santé. Enfin, en théorie...
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Comme tu peux l'imaginer, certains patients ne sont pas très contents. Ils reprochent à l'ANSM d'avoir réagi trop lentement. C'est un peu comme si tu prévenais tes potes que la soirée est annulée... le lendemain matin. Pas top, quoi.
Sylviane Millon-Mathieu, présidente de l'Association des victimes du finastéride (AVFIN), a déclaré que cette réévaluation était "bienvenue", mais un peu tardive pour ceux qui souffrent d'effets indésirables depuis des années. Je la comprends, moi qui porte un complément capillaire depuis plus de 10 ans, je sais à quel point la perte de cheveux peut être un sujet sensible.
Alors, que faire en attendant les résultats de cette enquête ? Personnellement, je dirais : patience et prudence. Si tu prends du finastéride, parles-en à ton médecin. Et si tu hésites à commencer, réfléchis-y à deux fois. Après tout, être chauve, ce n'est pas si mal. Regarde Bruce Willis, Jason Statham ou Dwayne Johnson. Ils s'en sortent plutôt bien, non ? Et puis, entre nous, une belle boule de billard, ça peut avoir son charme !